«Il est question de violence. Thème que j’ai déjà abordé avec «Poussières de sang». Cette fois, la brutalité sera incarnée par ce qui est, en Afrique, un acte culturel ritualisé, qui met en jeu le corps de façon artistique, si on lui donne une intention, un sens».
Sur scène, honneur à la lutte. Sport et rituel, pilier de la culture africaine.
Intimidation, parade. Les corps s’entrechoquent. Avec grâce et vélocité.
Au coeur de l’arène. Véritable aire d’un jeu sportif, artistique et quasiment mystique.
La clameur commence bien avant le combat. Elle demeure en fond sonore.
Comme une réminiscence, Une petite musique, qui ne m’a jamais quitté. Un souvenir.
Une ode au combat pour la liberté.